Du Covid et du masque.

Rédigé par yalla castel - - 4 commentaires
Comme un train qui peut en cacher un autre…
 
Nous avons reçu hier par mail le texte ci-dessous. Nous ne savons pas qui l’a écrit et au fond ça n’a pas grande importance. Nous le partageons avec qui voudra bien le lire. A partager sans modération?
 
"Le Covid 19 élit domicile non pas dans des « foyers » de contamination mais dans des lieux étranges du nom anglais de « clusters ».
 
Le Covid 19 s’attaque aux jeunes dans leurs réunions festives mais pas aux 12 000 spectateurs du Puy du Fou.
 
Il s’attaque aux baigneurs sur les plages mais pas aux sans abris.
 
Sur certaines plages il est dangereux de 21 h à 7 h du matin mais il ne l’est plus dans la journée.
 
Il s’attaque aux petits commerces mais pas aux grandes surfaces ni aux multinationales.
 
Il menace les restaurants mais quadruple les profits d’Amazon.
 
Il met des salariés au chômage mais permet la fraude patronale au chômage partiel.
 
Il aide certains financièrement mais pas d’autres.
 
Il peut tuer votre grand mère de 70 ans si elle vient vous voir mais pas si elle garde vos enfants.
 
Il amène des scientifiques sur les plateaux télé mais leurs commentaires sont débridés et tournent à l’information spectacle.
 
Il permet le traitement à la chloroquine puis l’interdit mais, de décrets en décrets, l’autorise à nouveau en douce.
 
Il était inoffensif, une « simple grippe » et le masque était inutile quand on comptait les morts mais il est devenu extrêmement dangereux depuis le dé-confinement si vous n’avez pas de masque.
 
Il permet de s’asseoir côte à côte dans un train mais pas au théâtre.
 
Il autorise des matches de foot avec 5 000 spectateurs mais interdit de se réunir à plus de 10 sur la voie publique.
 
Sans oublier qu’il n’est plus contagieux quand t’es assis à ta table de restaurant ou dans ton siège au cinéma, il l’est seulement le temps de te rendre à ta place ou aller aux toilettes. Après c’est ok.
 
Étrange et vicieux ce virus, qui réagit différemment en fonction des gens, des lieux et . . . . des intérêts !!!"
 
 

Jean Cardonnel

Rédigé par yalla castel - - 1 commentaire

« Nous évoluons dans un monde dont la préoccupation de soi constitue l’armature. Notre monde est celui de l’égoïsme; des choses, de la quantité; il s’épanouit en règne des privilèges, des affaires, de l’argent. Nous sommes dans la société compétitive. Les premiers entendent toujours demeurer les premiers. Ils veulent même de plus en plus distancer tous les autres considérés comme des concurrents. Si les premiers seuls comptent où seront les derniers? Les autres, les derniers ne seront jamais traités comme des personnes, ravalés au rang de choses, ils demeurent en marge.Quand viendra le tour des autres ? Jamais ? »

Jean Cardonnel, né le 12 mars 1921 à Figeac (Lot), décédé le 4 juillet 2009, était dominicain et se situait à l’extrême gauche des fidèles de l’Église catholique, étant le principal défenseur de la théologie de la libération en France.

Pour en savoir plus sur la théologie de la libération:

https://croire.la-croix.com/Definitions/Lexique/Theologie/Qu-est-ce-que-la-theologie-de-la-liberation

 

Point de vue sur la situation présente

Rédigé par yalla castel - - 3 commentaires

Sur le blog de Maxime Tandonnet un commentateur à laissé un lien qui renvoie au texte suivant:

"Je fais souvent référence à l’émiettement de la société française ou encore à son archipellisation politique.

Pas besoin d’avoir fait Sciences Po pour comprendre ce dont il s’agit. C’est très important, donc on n’en parle pas.

On en parle d’autant moins qu’il s’agit d’un processus de transformation de nos sociétés qui a été théorisé par les ingénieurs sociaux et les conseillers politiques afin soit de conquérir le pouvoir, soit de le conserver malgré l’absence de majorité pour le faire;

Le capital a dans les années 30 posé les bases de la protection de la propriété face a la poussée démocratique et il a établi la parade qui allait donner naissance au néo liberalisme, parade complétée par la prise de pouvoir des institutions internationales mondialistes.

Mais, on peut faire mieux et au lieu d’imposer la discipline aux peuples par les organisations internationales, on peut les forcer, en les manipulant, à l’auto discipline, à l’auto exploitation, à la résignation  et à l’impuissance.

Pour cela il suffit d’empêcher les peuples de constituer politiquement des blocs majoritaires capables de gouverner. Il faut pulvériser leurs représentations entre par exemple celles qui sont pour l’immigration et celles qui sont contre, celles qui sont pour la féminisation de la société et celle qui sont contre, celles qui sont pour la transgression sexuelle généralisée  et celles qui sont contre, je pense que vous avez compris.

L’émiettement de la société , sa pulvérisation , son archipellisation politique est une stratégie de long terme non explicitée et donc encore très efficace; elle supplante à notre époque la stratégie de contrôle des peuples par le biais des organisations internationales."

Lire la suite ici...

Pour en savoir plus sur l'auteur de cette vision de la situation présente c'est ici...Bruno Bertez.

De la religion et de la politique

Rédigé par sadys - - 1 commentaire

"Lorsqu’on observe la vie politique américaine contemporaine, le temps semble bien éloigné où un John F. Kennedy, pour assurer sa victoire à la présidence, devait proclamer lors d’une assemblée à Houston, Texas : « Je crois en une Amérique où la séparation de l’Église et de l’État est absolue, où aucun prélat catholique ne dit au président (si celui-ci est catholique) comment agir, et aucun pasteur protestant ne dit à ses ouailles pour qui voter. Où aucune Église et aucune école religieuse ne reçoit de fonds publics ou de privilège politique... Je crois en un président dont les opinions religieuses relèvent de ses affaires privées." [1][1]John F. KENNEDY, « Remarks to an Assembly of Preachers in…... »

 

Lire la suite ici....

 

 

De la religion et de l'homme

Rédigé par yalla castel - - Aucun commentaire
" Pour bien se représenter le rôle immense de la religion, il faut envisager tout ce qu'elle entreprend de donner aux hommes; elle les éclaire sur l'origine et la formation de l'univers, leur assure, au milieu des vicissitudes de l'existence, la protection divine et la béatitude finale, enfin elle règle leurs opinions et leurs actes en appuyant ses prescriptions de son autorité. Ainsi remplit-elle une triple fonction. En premier lieux tout comme la science mais par d'autres procédés, elle satisfait la curiosité humaine et c'est d'ailleurs par là qu'elle entre en conflit avec la science. C'est sans doute à sa seconde mission que la religion doit la plus grande partie de son influence. La science en effet ne peut rivaliser avec elle, quand il s'agit d'apaiser la crainte de l'homme devant les dangers et les hasards de la vie ou de lui apporter quelques consolations dans les épreuves. La science enseigne, il est vrai, à éviter certains périls, à lutter victorieusement contre certains maux: impossible de nier l'aide qu'elle apporte aux  humains, mais dans bien des cas elle ne peut supprimer la souffrance, et doit se contenter de leur conseiller la résignation. "
 

Freud "Nouvelles conférences sur la psychanalyse" 1915/1917

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