L'association Justice Autrement offre un service de justice restaurative pour aider chacun, victimes et auteurs, à trouver une voie vers la guérison et à reconstruire un lien social brisé. Dans le respect de la confidentialité, l'association favorise une approche humaine pour accompagner les personnes touchées, prévenir la récidive et encourager la résilience.
Tournée vers l’avenir, la démarche de justice restaurative contribue à rétablir l’équilibre social perturbé par un crime ou un délit, en redonnant aux parties concernées – victime, agresseur et membres de la communauté – le pouvoir d’entrer en dialogue sur un pied d’égalité, d’exercer leur responsabilité et de reprendre leur place dans la société en s’engageant dans une démarche de réparation.
La justice restaurative s’intéresse donc aux conséquences de l’infraction plus qu’à ses causes, en visant la guérison des blessures, l’apaisement des souffrances, la réparation des torts causés et la responsabilisation des auteurs.
Complémentaire de la justice pénale elle propose aux victimes et auteurs de violences sexuelles d’entrer en dialogue pour se reconstruire.
« Faisons gaffe à l’hypocondrie médiatique. Cessons d’amplifier le danger nourri par les médias.
La morosité ambiante devient ma morosité.
La réalité du monde devient mon triste sort, et on finit par se rassurer dans l’angoisse.
Spirale infernale nourriepar une spirale d’info.
Trop d’infos tue l’info, comme trop de lois tue la loi.
Par contre trop de connerie n’a jamais tué un con.
Comment penser au long terme, rêver sa vie, quand on est pris dans la dictature de l’instant ?
L’angoisse crée le pessimisme, qui engendre le défaitisme, qui lui-même fabrique de l’impuissance, qui à son tour nourrit la résignation pour finir par une tétanie de la pensée, autrement dit au niveau zéro de la réflexion.
La voie est libre.
Nous sommes totalement absents parce que trop présents. [...]
Les grandes défaites se résument en une phrase : trop tard. »
Le 9 octobre, alors qu’il recevait les représentants des grandes agences de presse, Léon XIV a adressé ce message :
" Le monde a besoin d’une information libre, rigoureuse et objective. Dans ce contexte, il vaut la peine de rappeler l’avertissement d’Hannah Arendt, selon laquelle ‘’le sujet idéal de la domination totalitaire n’est pas le nazi convaincu ni le communiste convaincu, mais les personnes pour qui la distinction entre fait et fiction, entre vrai et faux, n’existe plus” (Les Origines du totalitarisme). "