Gaza, situation apocalyptique. Quinze responsables des agences de l’ONU lancent un appel au monde. C’est un peuple qui meurt de violence, de maladie et de famine.
Le même jour, il y a 70 ans, un autre peuple colonisé, l’Algérie, lançait sa lutte pour son indépendance, la « Toussaint rouge ».
Aleteia est un quotidien d’information sur internet. Le site est publié en cinq langues (Anglais, Français, Espagnol, Polonais et Slovène). Depuis son lancement en 2013, il est devenu l’un des premiers sites catholiques au monde. Chaque mois, plus de 5 millions de lecteurs se connectent à Aleteia. À travers son site web, son application et les réseaux sociaux, Aleteia touche près de 50 millions de personnes dans le monde.
Lancé par des laïcs catholiques, avec le soutien du Conseil Pontifical pour les Communications Sociales et du Conseil Pontifical pour la Nouvelle Évangélisation, Aleteia est aujourd’hui totalement indépendant de la structure ecclésiale officielle. Son activité éditoriale se développe librement, tout en demeurant attentif au Magistère de l’Église et au message du Pape François.
Voici un article de ce site que j'ai reçu par mail :
Pensez-vous que des nouvelles noces entre le catholicisme et la Gauche sont possibles ?
Il faudrait d’abord répondre à la question de savoir ce que signifie «être de Gauche» : c’est devenu compliqué ! Dans l’histoire de la Gauche française, il y a bien une composante de révolte contre la misère, d’attention aux plus faibles qui est aussi centrale dans le christianisme. C’est aussi l’idée d’accepter d’assumer l’impôt comme instrument de répartition des richesses et de correction des inégalités, et de développer une critique de l’enrichissement sans limite, du capitalisme déchaîné. Il y a un vrai problème de répartition des richesses, de régulation étatique. Là, l’Église a des choses à dire, elle aborde ces questions dans sa « Doctrine sociale ». Il faut relier cela avec l’analyse du pape François en matière d’écologie. Comme il l’a dit « tout se tient ». Je suis intéressé par lesPoissons Roses, le courant chrétien du Parti socialiste. Ils ont des propositions originales et inventives. Après, comme je suis de ceux qui estiment que le clivage droite/gauche a encore du sens, je pense qu’il est bon qu’il y ait des catholiques de droite, et d’autres de gauche. Religion « universelle » (c’est le sens de « catholique » en grec), le catholicisme devrait souffler dans tous les secteurs de la société, irriguer l’ensemble de l’échiquier politique (hors peut-être les partis explicitement athées ou promouvant de façon massive des thèses à l’évidence antichrétiennes). Le souffle social et la confiance des catholiques de gauche d’une part, d’autre part la rectitude doctrinale, le sens de la tradition et la prudence de leurs frères de droite, peuvent se nourrir réciproquement. C’est aussi cela, l’Eglise. Diversi, non adversi, nous sommes divers, mais pas adversaires, disait saint Augustin.
Source : "Non mais sérieusement, comment peut-on être catholique en France ?" interview de Denis Moreau Jules Germain - publié le 03/03/18 dans Aleteia.
En lisant quelques autres articles sur ce site, je me suis demandé pourquoi un tel titre et voici ce que j'ai trouvé à la rubrique qui sommes-nous? :
Alètheia est un mot grec qui signifie “ce qui est montré, publié, en vérité”. Au sens moral, l'Alètheia exprime la fidélité, la sincérité et la loyauté. Cette exigence guide les journalistes d'Aleteia.
Guerre au Soudan, voici un extrait du texte écrit par Maxime Tandonnet:
"(...) Le Soudan est un pays que je connais bien pour y avoir vécu ma première expérience professionnelle à l’âge de 24 ans, comme secrétaire d’ambassade… J’en garde le souvenir d’un peuple extrêmement chaleureux, hospitalier, amical et généreux même dans la misère endémique… Le Soudan est un immense pays, le plus grand d’Afrique par la taille à cette époque. A la confluence des deux Nils, le Nil bleu et le Nil blanc, il possède de formidables richesses naturelles en terres agricoles et en matières premières, qui pourraient en faire le grenier de l’Afrique. (...)"
Le 10 septembre 2023, sur son blog "Le saker francophone", Nicolas Bonnal publie des extraits de textes de Michel Debré rapportant des entretiens qu'il a eu avec le général De Gaulle. En voici des passages:
"Nous allons vers l’intégration dans l’Europe, c’est-à-dire en fin de compte la fin de la France, et je crains aussi que les divisions de l’Occident et l’incapacité américaine ne conduisent notre civilisation au déclin décisif. Je parle d’abord des forces qui poussent à l’intégration européenne : tous ceux qui sont hostiles à l’État, tous ceux qui ne comprennent pas la nécessité d’une pensée et d’une action indépendantes, se précipitent vers la supranationalité parce qu’ils savent, au fond d’eux-mêmes, que la supranationalité, c’est le protectorat américain."
"Le général de Gaulle m’interrompt pour me demander si je crois possible de résister à ces forces. « Il n’y a que vous et moi qui pensons à l’indépendance de la France. » Je lui réponds que nous devons être, en réalité, plus que deux et j’ajoute qu’il y aura tellement de déceptions à la suite de cette politique d’intégration qu’il ne faut pas douter d’être dans la vérité en expliquant qu’il faut faire l’Europe par l’association des Etats et non par la disparition des nations, à commencer par la disparition de la France."
"Entretien du 26 mai 1968 : j’expose au Général que le but de ma visite est de préciser les conditions qui peuvent permettre le succès du référendum. Interruption du Général : « Je ne souhaite pas que le référendum réussisse. La France le monde sont dans une situation où il n’y a plus rien à faire et en face des appétits, des aspirations, en face du fait que toutes les sociétés se contestent elles-mêmes, rien ne peut être fait, pas plus qu’on ne pouvait faire quelque chose contre la rupture du barrage de Fréjus. II n’y aura bientôt plus de gouvernement anglais ; le gouvernement allemand est impuissant; le gouvernement italien sera difficile à faire; même le président des Etats-Unis ne sera bientôt plus qu’un personnage pour la parade. Le monde entier est comme un fleuve qui ne veut pas rencontrer d’obstacle ni même se tenir entre des môles. Je n’ai plus rien à faire là-dedans, donc il faut que je m’en aille et, pour m’en aller, je n’ai pas d’autre formule que de faire le peuple français juge lui-même de Son destin."
Mon cher Maxime, j’étais intervenu lors de l’émission de Pascal Praud le 20 février dans « Les auditeurs ont la parole ». J’avais dit je cite : « Si vous poussez Poutine dans ses derniers retranchements, et qu’il va en Ukraine toute la partie méridionale de l’Europe sera déstabilisée de la mer Caspienne à la Méditerranée ». On m’a ri au nez.
Eh bien nous y sommes, ce n’est que le début, Azerbaïdjan Arménie, tension Kosovo Serbie, Turquie Kurdes et Grèce etc...
La guerre en Ukraine est l’aboutissement d’un projet de 30 ans du mouvement néoconservateur américain. L’administration Biden est un nid de néoconservateurs qui ont défendu les guerres voulues par les États-Unis en Serbie (1999), en Afghanistan (2001), en Irak (2003), en Syrie (2011), en Libye (2011) et qui ont tout fait pour provoquer la Russie à envahir l’Ukraine. Par ces actes ils ont donné naissance à une hydre, les mouvements islamistes et terroristes. Un monde asymétrique. Ils accélèrent la désoccidentalisation.
Biden dirige l’Ukraine, les États-Unis et l’Union européenne vers une débâcle géopolitique. Si les dirigeants européens ont une lueur d’intelligence, ils doivent impérativement se débarrasser de leur soumission à la politique étrangère américaine.(...)
Les dirigeants européens se fichent du sort des arméniens, ils sont les larbins des Etats-Unis. (...) Van Der Leyen est une pro américaine du fait de ses racines. Elle fera tout ce que lui dit Washington.
Les arméniens vont payer le prix fort, (...) Van Der Leyen est allée voir le président de l’Azerbaïdjan pour avoir du gaz. Maintenant les azéris sont en position de force et feront ce qu’ils veulent sinon le gaz, c’est fini. Quand on pactise avec le diable, il faut en assumer les conséquences. Après avoir sacrifié les Kurdes pour que la Finlande et la Suède intègre l’Otan, on sacrifie les Arméniens. Et ils se disent défenseurs des libertés et droits de l’homme. (...)
De plus, l’ONU est utilisée par les États-Unis que lorsqu’elle est utile aux intérêts américains.
Les néoconservateurs américains, Norman Podhoretz, Irving Kristol, Paul Wolfowitz, Robert Kagan (fils de Donald), Frederick Kagan (fils de Donald), Victoria Nuland (épouse de Robert), Elliott Cohen, Elliott Abrams et Kimberley Allen Kagan (épouse de Frederick) ont rédigé un projet d’orientation de la politique de défense (DPG) rédigé pour le ministère de la Défense en 2002 afin que la force militaire américaine soit pré positionnée dans des centaines de bases militaires à travers le monde pour que les États-Unis soient prêts à mener des guerres choisies si nécessaire.
Qui va payer cette folie, le peuple européen, les Kurdes, les Arméniens et bien d’autres encore.
D’ailleurs Macron et sa clique (...) nous demandent de payer les conséquences de leurs actes irréfléchis, nombre de français vont avoir froid, j’espère que nous aurons des températures entre moins 5 et moins 10 afin que les Français et le peuple européens se réveillent et virent ces incompétents.
De Gaulle avait bien dit qu’à la chute du communisme le plus gros fléau que nous aurions à combattre serait l’hégémonie américains.