
"En quelques mois le polémiste Eric Zemmour s’est imposé dans le paysage politique Français. Et partant dans le paysage médiatique. Les derniers sondages le créditent de 11% d’intentions de vote, s’il était au printemps prochain candidat à la présidentielle, ce qui le situe immédiatement derrière Emmanuel Macron et Marine le Pen. Son dernier ouvrage est en tête des ventes dans de nombreuses librairies. Son face à face du 23 septembre dernier avec Jean-Luc Mélenchon a été suivi par près de quatre millions de Français. D’évidence une frange de l’électorat se reconnaît dans ses analyses et propos, même les plus outranciers. Sauf que dénoncer l’immigration et la présence de l’islam en France comme la cause principale de tous nos maux sans dire comment on pourrait interdire à quelques millions de nos compatriotes, aussi français que lui, de vivre leur religion conformément à la loi, constitue un détournement irresponsable et potentiellement dangereux du débat démocratique. Il y a donc imposture."
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Pour faire connaissance avec Jean Lavoué voici aussi l'adresse de son blog:
http://www.enfancedesarbres.com/
"Saviez-vous que les arbres parlent? Ils le font pourtant! Ils se parlent entre eux et ils vous parleront si vous écoutez."
"Il faut reboiser l'âme humaine."
Nous avons reçu ce matin le lien suivant:
Michel Croz
Une analyse de plus sur la situation présente? Oui mais pas que... En voici un bref extrait:
"Depuis les débuts de la Modernité, l’axe majeur qui a orienté les politiques est celui qui va du local vers le global. C’est ce qu’on appelle la mondialisation, ou la globalisation.
Il y a deux sous catégories dans cette mondialisation : la mondialisation-moins et la mondialisation-plus.
Cette mondialisation est critiquée de toute part aujourd’hui par les tenants d’un retour au Local.
Il y a deux sous-catégories dans ce Local : le local-moins et le local-plus."
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Bonne confination à vous tous, bonne lecture.
Une fois cette tragédie surmontée, tout recommencera-t-il comme avant ? Depuis trente ans, chaque crise a nourri l’espérance déraisonnable d’un retour à la raison, d’une prise de conscience, d’un coup d’arrêt. On a cru au confinement puis à l’inversion d’une dynamique sociopolitique dont chacun aurait enfin mesuré les impasses et les menaces (1). La débandade boursière de 1987 allait contenir la flambée des privatisations ; les crises financières de 1997 et de 2007-2008, faire tituber la mondialisation heureuse. Ce ne fut pas le cas.
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