Deepseek est l'intelligence artificielle chinoise. A la question que faut-il penser de l'altruisme voici ci-dessous ce qu'elle a répondu:
L'altruisme est un concept qui suscite beaucoup de réflexions et de débats, tant en philosophie qu'en psychologie, en sociologie et en biologie. Voici quelques points de vue pour aider à comprendre ce qu'il faut en penser :
1. Définition et perspectives philosophiques
Altruisme pur : L'altruisme désigne un comportement désintéressé visant à aider autrui sans attente de récompense. Des philosophes comme Emmanuel Kant ont valorisé l'action morale désintéressée, tandis que d'autres, comme Auguste Comte, ont vu dans l'altruisme une base pour une société harmonieuse.
Critiques de l'altruisme pur : Certains penseurs, comme Friedrich Nietzsche, ont critiqué l'altruisme, y voyant parfois une forme de faiblesse ou une négation de soi. D'autres, comme Ayn Rand, ont argué que l'altruisme peut être contraire à la rationalité et à l'intérêt individuel.
2. Perspectives psychologiques et sociologiques
Motivations humaines : La psychologie montre que les comportements altruistes peuvent être motivés par des sentiments d'empathie, de compassion ou par des normes sociales. Cependant, certains soutiennent que même les actes altruistes peuvent avoir des motivations indirectes, comme le renforcement de l'estime de soi ou la réciprocité.
Bénéfices sociaux : L'altruisme est souvent considéré comme essentiel pour la cohésion sociale. Il favorise la confiance, la coopération et le bien-être collectif, ce qui en fait un pilier des sociétés humaines.
3. Perspectives biologiques et évolutionnistes
Altruisme dans la nature : En biologie, l'altruisme peut sembler contradictoire avec la théorie de l'évolution, qui privilégie la survie des individus les plus aptes. Cependant, des concepts comme la sélection de parentèle (altruisme envers des parents génétiques) ou la réciprocité expliquent comment des comportements altruistes peuvent être avantageux pour la survie des gènes.
Altruisme humain : Les humains ont développé des capacités cognitives et émotionnelles qui favorisent l'altruisme, même envers des non-parents, ce qui a probablement contribué à leur succès évolutif.
4. Altruisme efficace
Approche moderne : L'altruisme efficace est un mouvement qui cherche à maximiser l'impact des actions altruistes en utilisant des données et des preuves pour orienter les efforts vers les causes les plus urgentes et les plus efficaces (par exemple, la lutte contre la pauvreté extrême ou les maladies évitables).
Débats éthiques : Cette approche soulève des questions sur la manière de mesurer l'impact et sur les priorités morales, mais elle offre une perspective pragmatique pour ceux qui souhaitent agir de manière altruiste.
5. Réflexion personnelle
Valeur intrinsèque : Beaucoup considèrent l'altruisme comme une vertu en soi, indépendamment de ses conséquences pratiques. Il incarne des valeurs comme la générosité, l'empathie et le souci des autres.
Équilibre avec l'intérêt personnel : Il est important de trouver un équilibre entre l'altruisme et la prise en charge de ses propres besoins. Un altruisme excessif peut mener à l'épuisement ou à la négligence de soi.
Conclusion
L'altruisme est un concept riche et complexe, qui peut être abordé sous de nombreux angles. Il est généralement perçu comme une force positive pour les individus et les sociétés, mais il mérite d'être pratiqué de manière réfléchie et équilibrée. Que l'on adopte une perspective philosophique, psychologique ou pragmatique, l'altruisme reste un sujet fascinant pour comprendre la nature humaine et les dynamiques sociales.
Jacquy est décédée lundi 20 janvier 2025. Infarctus.A l'âge de 71 ans. Sa crémation a eu lieu Vendredi 24 janvier à Tonneins. De nombreuses personnes ont assisté à l'hommage que lui ont rendu Laurence Sadys et Julie Balout.
Michel Crehen a lu le texte suivant:
Jacquie.
Tout d’abord, je pense qu’il faut rappeler ce qu'était l'Ecole Normale mixte d'Agen de 1969 à 1974, que nous en sommes la dernière promotion entrée en seconde, que nous étions internes, nourris, logés, que nous ne coûtions rien à nos parents et que nous avons perçu un salaire pendant deux ans après le bac pour apprendre notre métier.
Nous étions après 1968 : parfois c'était l'ébullition et ça partait un peu dans tous les sens. Mais avec le souci, l'envie et la rage de bien faire.
Je pense qu'il faut rappeler que nous venions du Tarn, du Tarn-et-Garonne, du Lot-et-Garonne, des Landes, du Lot.
Certains d'entre nous avaient des parents paysans, beaucoup des grands-parents paysans. Certains d'entre nous des parents ouvriers algériens de l'usine de Fumel. Certains d'entre nous étaient enfants de mineurs de Carmaux, enfants de pieds noirs, enfants d'ouvriers de la fonderie Gilbert de Casteljaloux. (C’est là que travaillait le père de Jacquie qui lui a légué le goût du travail bien fait.)
Et Jacquie était comme un poisson dans l'eau parmi nous. Elle était belle, joyeuse, dynamique, pleine de vie, de rire, de chants, de jeux. Toujours partante pour vivre sa vie à fond. Elle faisait partie des insouciants de 16 ans qui jouaient encore à « chat perché » aux récréations et qui, plus matures, défilaient dans les manifestations agenaises 2 ans plus tard.
Elle aimait faire des stages dans les classes. Elle a aimé être instit. Elle aimait être et faire avec ses élèves et leurs parents. Et elle savait faire la classe.
Beaucoup de ses anciens élèves l'ont aimée et en parlent encore avec respect et affection.
Ce qu'il faut rappeler c'est que Jacquie n'a jamais oublié que par sa mère et son grand-père maternel elle était la fille et la petite fille de républicains espagnols, chassés d'Espagne par Franco et réfugiés en Lot-et-Garonne à Casteljaloux, à une époque où de nombreux Français ne voulaient pas de migrants espagnols sur le territoire national.
Toute sa vie durant, dans son métier d'institutrice, de professeur des écoles, de directrice et dans les associations laïques où elle a été bénévole, elle a porté et défendu des valeurs républicaines qui méritaient d'être portées et défendues et qui aujourd'hui encore dans le monde qui vient méritent et mériteront d'être portées et défendues.
« Les morts vivent tant qu'il y a des vivants pour penser à eux. » (Emile Henriot)
"Dimanche dernier, alors qu’il rendait un vibrant hommage à Donald Trump, Volodymyr Zelensky s’est dit confiant dans l’avenir. Mais le président ukrainien n’a guère d’autre choix que de compter sur celui qui va être investi comme président des États-Unis le 20 janvier prochain. Et il ne peut tenir d’autre discours public à son égard, sauf à risquer de s’en faire un ennemi, alors que l’Europe ne s’est toujours pas donné les moyens de suppléer à une défaillance possible de l’aide américaine…
Certes, Zelensky peut parier sur l’imprévisibilité du successeur de Joe Biden. Et il sait que c’est Donald Trump qui avait pris la décision de livrer les missiles Javelin à l’Ukraine, missiles qui ont enrayé l’avancée des chars russes fin février 2022. Mais un regard sur les conséquences du premier mandat de Trump sur la scène internationale donne des raisons d’être inquiet.
Le bouillant milliardaire avait promis de régler en tête à tête la question de la détermination nord-coréenne à entrer dans la cour des puissances nucléaires. Sa rencontre avec Kim Jong-un s’est soldée par un fiasco. Aujourd’hui, la Corée du Nord dispose d’un petit arsenal nucléaire et son alliance avec la Russie de Poutine est en passe de lui permettre de surmonter les obstacles sur lesquels elle butait pour acquérir les vecteurs nécessaires pour en faire usage de manière « efficace ». L’imprévisibilité de Kim Jong-un vaut bien celle de Trump et son « humanisme » est en acier trempé… (...) "
Donnez-nous, Seigneur, de garder les pieds sur terre… et les oreilles dressées vers le ciel pour ne rien perdre de Votre Parole.
Donnez-nous, Seigneur, un dos courageux… pour supporter les hommes les plus insupportables.
Donnez-nous, d’avancer tout droit, en méprisant les caresses flatteuses, autant que les coups de bâton.
Donnez-nous, Seigneur, d’être sourd aux injures et à l’ingratitude : c’est la seule surdité que nous ambitionnons.
Ne nous donnez pas d’éviter toutes les sottises,
car un âne fera toujours des âneries…
Mais donnez-nous simplement, Seigneur, de ne jamais désespérer de Votre miséricorde, si gratuite pour ces ânes si disgracieux que nous sommes, d’après ce que disent les pauvres humains qui n’ont rien compris ni aux ânes, ni même à Vous, qui avez fui en Egypte avec un de nos frères, et qui avez fait Votre entrée messianique à Jérusalem sur le dos de l’un des nôtres.
Le Ginkgo Biloba, connu pour sa robustesse, fut la première espèce d'arbre à repousser après l'explosion de la bombe atomique le 6 août 1945 à Hiroshima.
" Où il n'y a point de justice il n'y a point de République." (Saint Augustin)
“Nous sommes nos choix” affirmait Jean Paul Sartre.
"Il faut allier le pessimisme de l'intelligence à l'optimisme de la volonté. " (Antonio Gramsci)
"L'optimisme vient de Dieu, le pessimisme est né dans le cerveau de l'homme." (Proverbe arabe)
“C’est une folie de haïr toutes les roses parce qu’une épine vous a piqué, d’abandonner tous les rêves parce que l’un d’entre eux ne s’est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce qu’on a échoué… C‘est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu’une d’elles vous a trahi, de ne plus croire en l’amour juste parce qu’un d’entre eux a été infidèle, de jeter toutes les chances d’être heureux juste parce que quelque chose n’est pas allé dans la bonne direction. Il y aura toujours une autre occasion, un autre ami, un autre amour, une force nouvelle. Pour chaque fin il y a toujours un nouveau départ.”Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince