De l'Iran

Rédigé par yalla castel - - Aucun commentaire

"La guerre qu’a menée l’Irak contre l’Iran durant huit ans a constitué un moment fondateur pour la perception des réalités régionales et inter-nationales du régime. Au plan global, le refus du Conseil de sécurité de condamner formellement l’agression irakienne a conduit la République islamique à se défier des institutions internationales, une défiance qui laissera des traces bien après la fin du conflit. Au niveau régional, Téhéran est  bien obligée de constater son isolement. Mis à part la Syrie, aucun pays voisin, proche ou lointain, ne lui offre son soutien, même formel. L’Iran ne peut compter que sur lui-même, constat qui influencera ses options futures en matière stratégique et militaire."

Pour en savoir plus:

https://www.academia.edu/35664607/LIRAN_DANS_LES_CRISES_DU_MOYEN_ORIENT?email_work_card=thumbnail

De la tyranie en marche

Rédigé par yalla castel - - Aucun commentaire

Les paroles s’envolent, les écrits demeurent.

Le confinement, la tempête, le couvre-feu sont une invitation pour moi à rester chez moi et à ranger papiers, notes de lecture, et à mettre un peu d’ordre dans la mémoire de mon ordi.

Voici un lien retrouvé de l’été 1999:

https://www.monde-diplomatique.fr/mav/46/RAMONET/55523

Tout ce que nous vivons aujourd’hui y est déjà annoncé.

Qu'est-ce que tu veux pour Noël?

Rédigé par yalla castel - - Aucun commentaire

Lu ces jours-ci le texte suivant qui circule sur Facebook:

 

Chaque année, mes enfants me posent la même question. Cette année, j'ai décidé de leur donner ma vraie réponse :


-Qu'est-ce que tu veux pour Noël ?

-Je te veux.
 

Je veux que tu continues de venir à la maison, je veux que tu me poses des questions, me demande conseil; demande mon avis, demande mon aide. Je veux que tu discutes de tes problèmes, discute de la vie, peu importe. Que tu me parles de tes projets; de tes rêves, de tes buts. Que tu me parles de ton travail, de tes soucis, de ta femme , de ton mari , de tes enfants . Je veux que tu continues à partager ta vie avec moi. Viens te moquer de moi, ou rire de moi, je m'en fiche. T'entendre rire, c'est de la musique pour moi.


J'ai passé une partie de ma vie à t'élever du mieux que je le pouvais avec ce que j'avais. Et je ne me vante pas, mais j'ai fait du bon boulot.


Maintenant, donne-moi le temps de m'asseoir et d'admirer mon travail, je suis plutôt fière de ça.


Je veux que tu aies une belle vie; pour toi et ta famille, et même qu'elle soit plus belle encore que la mienne.


Moi, j'ai les choses dont j'ai besoin.

Je veux te voir heureux et en bonne santé.

Quand tu me demandes ce que je veux pour Noël, je dis "rien" : je te veux.

 

Du deuxième confinement

Rédigé par sadys - - 1 commentaire

Bien que comparaison ne soit pas raison il m’arrive souvent de penser à Napoléon III dans ce que nous vivons depuis Yves Mourousi journaliste de télé sur TF1 de 1975 à 1988. Ce journaliste me faisait d’ailleurs penser à « Bel Ami » de Guy de Maupassant.

L’informatique, la télé par satellite, le smartphone connecté sur internet bouleversent la vie économique, politique, culturelle du monde comme le train a bouleversé la vie économique, politique, culturelle de la France du second Empire.

Je ne comparerai pas l’attestation de déplacement à un Ausweis. Je ne risque pas de me faire arrêter par la Gestapo ou la Milice. Mais effectivement cette attestation a un effet pervers. Elle nous met en situation de hors la loi dans notre propre pays sans avoir rien fait de vraiment mal.

Tout comme le permis de conduire à points qui avec la multiplication des radars automatiques plongent des milliers de Français dans l’illégalité quand ils continuent à conduire alors qu’ils n’ont plus de points sur leur permis.

Les mesures visant à autoriser certaines personnes à travailler et d’autres pas me font penser au STO. Dans les faits ce n’est pas comparable mais dans la réalité d’aujourd’hui je pense que nous assistons à un basculement d’opinion dans notre pays. Certaines personnes qui n’ont rien fait de mal se retrouvent hors la loi dans leur propre pays. Comme à l’époque du STO.

Il n’y a pas de révolte, de révolution parce qu’il n’y a pas de leaders pour la mener et parce que beaucoup de nos compatriotes ne veulent pas ajouter du malheur à du malheur. Mais il y a probablement actuellement un mécontentement général dont pour le moment nous ne mesurons pas bien l’importance et les conséquences qu’il aura pour notre avenir proche et lointain.

Ce confinement ne se passe pas comme le premier. Il ne se passe pas bien. Il ne passe pas dans les esprits de beaucoup de personnes qui ne le vivent pas bien du tout.

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