Murs de France 1
Rédigé par yalla castel - - Aucun commentaire
Travail à la gouache d'Eva Da Cunha
Pour aider nos adolescents à grandir quelques pistes de réflexion:
Les aimer inconditionnellement
Cultiver un état d'esprit de développement
Autoriser les erreurs
Valoriser les efforts et les stratégies
Fournir les ressources pour les aider à acquérir les compétences qu'ils désirent
Les encourager à nourrir leur peersévérence
Rassurer et consoler
Laisser les adolescents donner leur avis et faire leur choix
Les sensibiliser à l'auto-empathie
Les sensibiliser à la gentillesse et à la compassion
Moins parler
S'entraîner à écouter
Être un bon modèle à imiter
Pour en savoir plus sur chacune de ces affirmations voir lien suivant:
https://apprendre-reviser-memoriser.fr/augmenter-le-niveau-de-confiance-en-soi-des-adolescents/
Possibilité sur ce lien de faire des tests.
Aux captifs la libération?
« L'Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés. » (Luc 4:18)
Nous sommes captifs des pays producteurs de pétrole et de gaz.
Nous sommes captifs des grandes surfaces qui habilement et gentiment guident nos comportements de consommateurs.
Nous sommes captifs des spots publicitaires.
Nous sommes captifs des chaînes de télévision capables du pire et du meilleur.
Nous sommes captifs de nos téléphones portables.
Nous sommes captifs des réseaux sociaux, d’internet.
Nous sommes captifs des guerres passées, présentes et à venir.
Nous sommes captifs d’un système politique et économique qui peut fonctionner sans nous et contre nous.
Nous sommes captifs de notre condition humaine: nous sommes nés pour mourir.
Nous sommes captifs de l’épidémie de Covid qui met de la distance entre nous et pèse de plus en plus lourdement sur nos vies de tous les jours.
Nous sommes captifs de nos peurs.
Cependant ici et là quelques femmes, quelques hommes parviennent à être libres. Ici et là existent des oasis de paix et de bonheur. Et les êtres humains ont une vitalité de chiendent. Si demain est pire qu’aujourd’hui après demain n’en sera que meilleur.
Aux captifs la libération!
» La voile carrée d’un navire croisant sur les eaux bleues de la Méditerranée, au large d’Hippone, porte depuis Rome la nouvelle inconcevable que des hommes existent encore, mais que leur monde n’est plus. Rome est tombée. Mais la terre et les cieux n’en sont pas ébranlés. Le monde marche vers sa fin mais il ne l’a pas encore atteinte.Votre âme, remplie de la lumière de Dieu ne passera pas.Tu t’étonnes de voir le monde toucher à sa fin ? Étonne-toi plutôt de le voir parvenu à cet âge avancé. Le monde est un homme qui naît, qui grandit et qui vieillit. Que de chagrins dans la vieillesse ? La toux, le dérangement des humeurs, la faiblesse de la vue, l’inquiétude, la fatigue, tout est réuni. Dans sa vieillesse l’homme est donc rempli de misères et le monde dans sa vieillesse est aussi rempli de calamités.Ah ! garde-toi de vouloir t’attacher à ce vieux monde et ne refuse pas de te renouveler dans le Christ. Le Christ te dit : Le monde s’en va, le monde est vieux, le monde succombe, le monde est déjà haletant de vétusté, mais ne crains rien, ta jeunesse se renouvellera comme celle de l’aigle. N’est-il pas vrai encore que Dieu n’a fait pour toi qu’un monde périssable et que tu es toi-même destiné à la mort ? Oui, l’homme qui fait l’ornement de la cité, qui habite la cité, qui la régit et qui la gouverne, n’est venu que pour s’en aller, il est né pour mourir, il est entré pour sortir. Le ciel et la terre passeront ; est-il alors étonnant qu’une ville cesse d’exister ? Si d’ailleurs elle ne cesse pas aujourd’hui, elle cessera sûrement un jour. »
Saint Augustin